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Citoyen

Comme vous sans doute, nous sommes affolés par la quantité de publicité qui nous assaille quotidiennement, et consternés de voir des publications de qualité s’en recouvrir à la recherche d’une rentabilité qui leur échappe souvent. Pourtant nous avons besoin de nous faire connaitre et les sirènes du marketing digital sont omniprésentes.

Face à ce dilemme, nous menons de nombreuses expérimentations à petite échelle dont nous compilons les résultats dans la foire aux questions. Inutile en effet de laisser tout le monde commettre les mêmes erreurs. Spécialement dans le contexte actuel ou les opportunités trompeuse sont aussi fréquentes que les fake news. Il nous semble important de partager l’expérience.

Par ailleurs, nous avons adopté une stratégie de communication novatrice, pour se débarrasser des systèmes de suivi trop faciles à détourner, et insérer notre activité dans le tissu économique de la manière la plus positive possible. Ainsi, nous avons coupé notre budget publicitaire en deux. Avec la première moitié, nous continuons d’expérimenter les différents systèmes  de publicité en ligne qui s’offrent à nous. Après-tout, il y en aura peut-être certains qui marcheront. Et sinon ça nous donnera de la matière pour alimenter notre foire aux questions.

La moitié de notre budget que nous avons préservé, nous la donnons directement à des créateurs de contenus comme ça devrait être le cas (a notre avis) dans un monde parfait avec des cookies parfaites et des systèmes de suivi parfaits. Au vu de nos expérimentations, c’est beaucoup plus efficace que ce qui existe actuellement, et ça n’implique pas laisser les publications se couvrir de pub, en quête de clics qui éloignent leur public pour seulement quelques centimes.

Ceux-là même, vidéastes, programmeurs, musiciens, humoristes, vulgarisateurs… qui font que chaque jours nous revenons sur la toile nous abreuver de leurs créations, et qui sont souvent rémunérés par la publicité intercalée sur leur contenus. Nous leurs donnons 7% du montant de nos ventes. Via Tipeee lorsque c’est possible. Sans demander de contrepartie. Ceux qui voudraient donner une contrepartie sont bien-sûr bien venus et peuvent s’inscrire à notre programme d’affiliation : contact@gataris.fr . ils récupèreront ainsi en plus une part approprié de la première moitié susmentionnée, ainsi qu'un login et mot de passe pour se connecter à notre site et suivre l'effet de leurs liens.

Nous avons un faible pour Science4all, Scilabus, Dr Nozman, Le labo d’Heliox, Micmath, Mr Japanization, Science étonnante, Haroun, ZenJu… Mais les clients qui le souhaitent, et qui ne sont pas arrivés par  un lien d'affiliation, peuvent choisir leur bénéficiaire et vérifier sur notre page Facebook ou notre blog que le créatif de leur choix est bien crédité. 

  

Foire aux questions

   

Pourquoi 7% ?

C'est moitié moins que le budget publicitaire généralement alloué à un produit en phase de lancement sur internet et c'est deux points de plus que la part création de contenu dans l'activité économique. Il y à donc un  avantage de part et d'autre du raccourci que nous proposons.

Je ne veux pas payer 7% de plus !

Nous comprenons ce que vous voulez dire. En même temps nous proposons déjà de payer 3% à 8% de moins comparativement à un lancement classique. le budget publicitaire d'un produit en phase lancement sur Internet est le plus souvent entre 10 et 15 % du prix de vente. De plus, vous pouvez choisir le créateur de contenu qui recevra ces 7%...

Et ça fonctionne ?

Bien sûr que ça fonctionne. Sinon vous ne seriez pas là en train de lire… Demandez autour de vous, vous verrez, les gens adhèrent facilement au concept.

Mais pourquoi faites-vous encore de la publicité alors ?

On aimerait bien s’en passer, mais on n’a pas encore atteint la masse critique de produits vendus pour que le phénomène s’auto entretienne. De plus, les expérimentations que nous menons sont une bonne source d’anecdotes pour alimenter cette foire aux questions. 

Quels essais avez-vous fait ?

En 20 ans d’existence, nous avons testé pas mal d’approches différentes: l’édition classique (nous inventons, ils font tout), la distribution indépendante, la distribution avec un distributeur (il y en à eu 6 depuis notre création du débutant à la chaine de magasin spécialisée),  la diffusion directe sur foires, marchés, et en ligne. Ces différents essais se sont bien sûr recoupés dans le temps. Notamment le commerce en ligne a commencé en même temps que la distribution et nous avons donc pu observer l’effet des différentes approches sur le commerce en ligne.

Notre credo actuel c’est l’exclusivité et la vente directe de produits que nous fabriquons nous même. On n’est pas encore sûrs que ce soit une bonne approche, mais les chances de réussite nous paraissent significatives.

Pendant cette longue période d’existence, nous avons bien sûr fait de nombreux essai de communication : concours, presse, tracts, affiches, inserts, bandeaux,  ad-words, publications boostées/sponsorisées, présence sur les forums/groupes/commentaires.

Qu’avez-vous appris?

Vous voulez dire quelles sont vos conclusions ?  Dans notre position, il est difficile de faire la part des choses entre connaissance et opinion. 

Quelles sont vos conclusions alors?

Ok, pour faire court nos conclusions actuelles ressemblent à ça:

  • Editeur ou distributeur ça revient un peu au même. C’est avant tout une question interpersonnelle et une question de chance. Le fait de réussir ou d’échouer ne signifie rien d’autre que : «  vous avez réussi où vous avez échoué ». Ca vaut le coup d’essayer mais ça ne récompense pas le travail. Si vous réussissez à vous faire distribuer en tant que producteur, il y aura quand même un effet de bord. Il faudra être aussi bon, aussi rapide et aussi peu cher que la chine. Il faut y penser.  
  • La distribution indépendante ça fonctionne. Il faut aimer le business plus que son activité principale, et accepter de s'éloigner de sa maison et sa famille pendant de longues périodes, mais ça fonctionne. En tout cas ça fonctionnait il y a 10 ans. 
  • Les marchés alimentaires sont bien, et peu onéreux pour ceux qui se lèvent tôt et habitant près d’une grande ville.
  • Les foires sont parfois bien parfois terribles. Il faut les essayer. C’est souvent  le bon endroit pour tester et améliorer ses produits. Mais il faut être prudent. On peut avoir un voisin qui est payé par l’organisateur pour faire sensiblement la même chose que ce qui vous a couté quelques milliers d’euros.
  • Les posters c’est très utile. Les autres imprimés ça se discute. Et pas seulement parce que c’est polluant. 
  • La publicité en ligne a vraiment l’air de fonctionner quand votre produit est présent dans de nombreux magasins. D’ailleurs l’argument il y a de la pub aide beaucoup à faire la vente dans le magasin. Mais lorsque l’on arrête la distribution, comme nous l’avons fait, on peut découvrir  qu’une boite de produit posée sur une table dans une foire (ou dans une vitrine) a plus d’impact sur les ventes en ligne que quelques centaines d’euro de publicité. 

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